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Anaïs BARBEAU-LAVALETTE

Anaïs Barbeau-Lavalette est née en 1979 à Montréal. Cette artiste multidisciplinaire s’attache depuis le début de sa carrière à représenter en mots et en images les luttes et beautés du monde. En 2012, on l’a nommée Artiste pour la Paix. 

 

Elle est l’auteure du roman La femme qui fuit (Marchand de feuilles, 2015 : lauréat 2016 du Prix des libraires du Québec et du Prix littéraire France-Québec), des chroniques de voyage  Embrasser Yasser Arafat (Marchand de feuilles, 2011) et du roman Je voudrais qu’on m’efface (Hurtubise, 2010). 

 

Outre deux films de fiction – Le ring (2007 : Jutra 2009 de la Meilleure musique et autres distinctions dans les festivals internationaux) et Inch’Allah (2012) –, elle a consacré ses talents de cinéaste à de nombreux projets documentaires. Ces derniers lui ont permis d’explorer divers enjeux sociaux, notamment au Honduras (Les Petits princes des bidonvilles, 2001 : Prix du Public au Festival Muestra Cultural de Montréal), en Argentine (Buenos Aires No llores, 2001 : prix du Meilleur court-métrage documentaire du Festival de Cherbourg), en Inde, en Tanzanie, en Palestine et au Québec (Si j’avais un chapeau, 2005 : finaliste Meilleur documentaire société et Meilleure recherche aux Prix Gémeaux 2006 ; Mention spéciale du jury aux Journées du cinéma africain et créole des Vues). 

 

Anaïs Barbeau-Lavalette a également réalisé plusieurs œuvres en collaboration avec son conjoint Émile Proulx-Cloutier. Ils ont à leur actif le documentaire Les Petits géants (2009 ; Prix Gémeaux 2010 du Meilleur documentaire culturel), le documentaire Le plancher des vaches (2015) et le documentaire scénique Pôle Sud, présenté en mai 2016 au théâtre Espace libre. 

 

En 2016, Barbeau-Lavalette endossera les titres de porte-parole de la Journée des librairies indépendantes et porte-parole de la 11e édition du World Press Photo, où elle signera une exposition sur les réfugiés syriens arrivés à Montréal.  

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Crédit photo André Turpin.
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